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Je viens de découvrir le sculpteur AMRI AMINOV, et son oeuvre me touche, car parler de Paix est de plus en plus nécessaire.
Et puis, en voyant ses chevaux, un petit coucou à Anne (ananasliam)
Quelle envolée !!!!!!!!!!!!!!!!
Né le 22 octobre 1966 à Mazari-Charif, au Tadjikistan ; et après un cursus
à l’école des Beaux-arts de Douchanbé, Amri Aminov, a intégré la prestigieuse
Académie des Beaux-arts de Saint-Pétersbourg où il a pu parfaire son art
pendant 6 ans, avant de s’installer en France à Saint-Germain-en-Laye.
Dès 1985, Amri Aminov expose dans de nombreux pays. C’est en 2008 qu’il
est nommé par l’ancien Directeur général de l’Unesco, Koïchiro Matsuura
artiste de l’Unesco pour la paix. C’est un artiste accompli que nous avons rencontré.
Actuellement, où trouve-t- on vos œuvres ?
Mes sculptures sont exposées dans différentes galeries et musées, à savoir au musée de l’Académie des Beaux-arts de Saint-Pétersbourg, au musée national d’Israël, à Tel Aviv, au musée de la ville de Floride et dans les prestigieuses galeries, telles que la galerie Flak (Paris Saint-Germain-des-Prés), la galerie Mouvance (Paris, Place des Vosges), la galerie Garance à Saint-Germain-en- Laye. Mes œuvres sont également présentées dans de nombreuses collections privées aux USA, au Canada et dans les principales capitales européennes et en Asie du Sud-est.
En tant qu’artiste de l’Unesco, vous avez sûrement des projets dans le cadre des programmes de ce grand organisme de l’ONU ?
En 1999, j’avais réalisé des trophées pour la paix. Et je compte créer des grandes statues pour la paix, destinées à de nombreux pays.
Qu’est-ce qui vous inspire ?
C’est la vie. Je voulais devenir poète, maintenant je crée des sculptures.
Mes sculptures sont exposées dans différentes galeries et musées, à savoir au musée de l’Académie des Beaux-arts de Saint-Pétersbourg, au musée national d’Israël, à Tel Aviv, au musée de la ville de Floride et dans les prestigieuses galeries, telles que la galerie Flak (Paris Saint-Germain-des-Prés), la galerie Mouvance (Paris, Place des Vosges), la galerie Garance à Saint-Germain-en- Laye. Mes œuvres sont également présentées dans de nombreuses collections privées aux USA, au Canada et dans les principales capitales européennes et en Asie du Sud-est.
En tant qu’artiste de l’Unesco, vous avez sûrement des projets dans le cadre des programmes de ce grand organisme de l’ONU ?
En 1999, j’avais réalisé des trophées pour la paix. Et je compte créer des grandes statues pour la paix, destinées à de nombreux pays.
Qu’est-ce qui vous inspire ?
C’est la vie. Je voulais devenir poète, maintenant je crée des sculptures.
Vous avez des sculptures qui représentent des anges, pourquoi avoir choisi cela ?
L’homme a toujours cherché à s’envoler. Une recherche de liberté en quelque sorte.
