Hier, en descendant la Montée de la Grande Côte de la Croix Rousse, j'ai rencontrée d'innombrables poèmes accrochées par de jeunes élèves. Il y en avait aussi dans les arbres.
C'était vraiment charmant. Je me suis arrêtée pour les lire tous.
Je suis certaine que ces enfants se souviendront de leurs professeurs des écoles qui leur ont permis de s'exprimer. QUELLE IDÉE CHARMANTE !
Je n'étais pas la seule à savourer leurs écrits - je voyais des sourires, de l'émotion sur les visages qui, comme moi, prenaient ces petits ou grands poèmes dans leurs mains.
J'ai été frappée par ce qu'il disait de la guerre.